• HOTEL MEURICE, haut lieu de la KOMMANDANTUR de Paris

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    Guerre 1939-1945. Paris sous l'Occupation. Drapeaux allemands, rue de Rivoli, sur la façade de l'hôtel Meurice, siège de la Kommandantur allemande. ( Photo André ZUCCA)

     

     

    Cet HOTEL de LUXE... crée par Mr MEURICE au XIXè siècle...
     
     
     
    Durant la Seconde Guerre mondiale, le général allemand Von Choltitz occupa l'hôtel comme gouverneur militaire de Paris, chargé par Hitler de brûler la capitale.
     
    De son dialogue bien réel avec le consul suédois Nordling est née une pièce de théâtre puis un film,
     
    "Diplomatie"
    dont certaines scènes furent naturellement filmées au Meurice.
     
    Niels Arestrup et André Dussollier dans Diplomatie.
     
     
    Silence, on tourne! Le principal site retenu est le salon Pompadour dominé par une représentation de la favorite de Louis XV enchâssée dans son cadre rocaille.
     
    Le décor souligne la solennité des enjeux et l'intimité des deux hommes engagés dans une lutte sourde pour sauver Paris.
     
    La suite 213 qu'occupait Von Choltitz sous l'Occupation n'existant plus, les équipes reproduisirent en studio l'actuelle suite présidentielle telle qu'on la voit dans le film.
     
     
     
     

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    Le Meurice est un hôtel de luxe parisien, situé rue de Rivoli au 228, dans le premier arrondissement, et appartenant au groupe Dorchester Collection Hotels.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, le Meurice servit de quartier général aux forces d'occupation allemandes.

     

    Dietrich von Choltitz en 1940.

     

     

    Dietrich von Choltitz, né le 9 novembre 1894 à Wiese Gräflich (Silésie) et mort le 5 novembre 1966 à Baden-Baden, est un General der Infanterie allemande qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant laSeconde Guerre mondiale. Il fut en particulier gouverneur militaire du « Grand Paris » au moment de la libération de la ville en août 1944.

    Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer.

    Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès.

    À Paris, la Kommandantur est installée place de l'Opéra, tandis que von Choltitz prend ses quartiers à l'hôtel Meurice, palace situé rue de Rivoli, en face du jardin des Tuileries.

    Lorsque l'insurrection éclate, les Allemands sont encore 20 000 dans la capitale. Outre un régiment de sécurité appuyé par des chars français hors d'âge, la garnison comprend essentiellement des états-majors et des services inaptes au combat. Cependant, des colonnes d'unités étrillées en Normandie qui se replient sur la Somme traversent la capitale exempte d'attaques aériennes alliées.

     

    La retraite de ces unités est couverte par un certain nombre de chars Panther.

     

     

    Dans l'après-midi du 19 août, von Choltitz accepte le cessez-le-feu négocié par le consul de Suède Raoul Nordling avec les gaullistes. I

     

    l sursoit à l'exécution de trois résistants,

     

    Alexandre Parodi, Roland Pré et Emile Laffon,

     

    représentants directs du général de Gaulle arrêtés le 20 août par la Gestapo, et les libère.

     

     

     
    Dietrich von Choltitz en 1940.

    Le 23 août 1944, il reçoit l'ordre d'Hitler de défendre Paris par la destruction de pâtés de maisons et des ponts de la capitale.

    « Paris ne doit pas tomber entre les mains de l'ennemi, ou alors que ce soit un champ de ruines ».

    Conscient que la destruction des infrastructures de Paris serait inutile, que la guerre est perdue pour son camp, et soucieux de ménager son avenir de futur prisonnier,

     

    il négocie pour remettre sa reddition à un officier allié.

    Le 25 août, après un combat en forme de baroud d'honneur, il se rend au soldat espagnol Antonio González de la compagnie La Nueve de la 2edivision blindée.

     

    Il est conduit à la Préfecture de police de Paris où il capitule devant le général Leclerc. Il est ensuite conduit à la gare Montparnasse,

    PC de commandement de Leclerc, où le nom et la signature du colonel Rol-Tanguy, commandant communiste des FFI de l'Île-de-France, sont rajoutés à l'ordre de reddition.

    Adolf Hitler, dans un accès de rage, lui aurait téléphoné en demandant si Paris brûlait (« Brennt Paris ? »). Avant de prendre sa décision de refuser de détruire Paris, von Choltitz avait pris la précaution de mettre sa famille à l'abri desreprésailles collectives familiales10. Il tenta également de protéger les auxiliaires féminines allemandes situées à Paris.

    Captivité[modifier | modifier le code]

    Immédiatement emprisonné, Choltitz est conduit en Normandie puis prend l'avion pour l'Angleterre. Il y est enfermé avec d'autres hauts officiers allemands. Ses conversations sont enregistrées à son insu. Il évoque dès le 29 août 1944 sa rencontre avec Hitler du début du mois, présentant Hitler comme très diminué physiquement mais l'ayant harangué plus de quarante-cinq minutes sans se laisser interrompre, « se dévidant comme un disque de gramophone », et comme s'il était devant un large public. Choltitz en garde la sensation que Hitler n'a plus tous ses moyens, et n'a guère de respect pour l'armée. Choltitz répètera une version similaire dans ses Mémoires ou au cours d'entretiens avec des journalistes

    RELACHE par les ALLIES en 1947 !

    sources WIKIPEDIA 

     

     

    Le Général Dietrich von Choltitz, dernier commandant du « Groß- Paris », y dirigea ses troupes pendant l'insurrection de la capitale du 19 au 25 août 1944, et y reçut le consul de Suède Raoul Nordling pour tenter de négocier par l'intermédiaire de ce dernier, une trève avec la Résistance.

     

    Le 25 août en début d'après-midi, après un ultime combat aux

    portes de l'immeuble, von Choltitz et son Etat-Major furent capturés par les hommes de la 2e DB du général Leclerc, alliés aux FFI.

     

     

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    Guerre 1939-1945. Paris sous l'Occupation. Drapeaux allemands, rue de Rivoli, sur la façade de l'hôtel Meurice, siège de la Kommandantur allemande.

    © Pierre Jahan / Roger-Viollet

     

     

    Conduit à la préfecture de Police puis à la gare Montparnasse, il y signa la reddition de toutes les forces allemandes de la capitale.

     

    À l’approche des troupes alliées, la Résistance déclenche un soulèvement armé le 19 août 1944. La Libération de Paris se fait le 25 août avec l’entrée dans la capitale de la 2e division blindée du général Leclerc, qui commande au capitaine Raymond Dronne de percer les lignes ennemies avec sa neuvième compagnie

    (Régiment de marche du Tchad).

    Le général von Choltitz capitule alors sans exécuter les ordres d’Hitler demandant sa destruction. Paris est l’une des rares communes de France à se voir décerner le titre de compagnon de la Libération.

     

    ( Le Meurice, de la maîtresse de Napoléon III à Dali :

    Installé en 1835 rue de Rivoli pour accueillir les riches touristes

    anglais (dont Miss Howard, maîtresse et mécène du futur Napoléon III),

     

     

    le Meurice est surtout célèbre pour avoir été entre 1940 et 1944 le quartier général des forces d’occupation allemandes.

     

    Ce qui lui valu de servir de décor au film « Paris brûle-t-il ?« en 1960.

     

     

    Ce qu’on sait moins, c’est que le palace fut la demeure un mois par an de l’artiste  Salvador Dali pendant plus de 30 années. )

     

    Drapeau de l'Hotel Meurice

    @ Musée de L'Ordre de la Libération

     

    Siège du gouverneur militaire allemand du Grand-Paris, l'hôtel Meurice

    est situé au 228 rue de Rivoli dans le 1er arrondissement,

    en face du jardin des tuileries.

     

    Cinq gouverneurs militaires se sont succédés durant l'occupation:

    - Alfred von Vollard-Bockelberg (juin 1940)
    - Kurt von Briesen (septembre 1940)
    - Ernst Schaumburg (nov 1940 / 28 juil 1943)
    - Hans von Boineburg-Lengsfeld (aout 1943 / 7 aout 1944)
    - Dietriech von Choltitz (10 au 25 aout 1944)


     
     



    Fanion du véhicule du Kommandant Von Gross-Paris Dietrich Von Choltitz
    @ Musée de l'Ordre de la Libération

     

     

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    Je vous présente ici deux grands plats, en faience de Sarguemines, récupérés à la libération par un résistant et provenant de la vaisselle de l'hôtel Meurice.

     

     

    HOTEL MEURICE sous l'occupation

     

     

     

     

     

    HOTEL MEURICE sous l'occupation

     

     

     

     

    HOTEL MEURICE sous l'occupation 

     

     

     

     

     

     

     

    HOTEL MEURICE sous l'occupation

     

    L’état-major du "Gross-Paris" fait prisonnier à l'Hotel Meurice.

    25 août 1944, l’état-major du « Gross-Paris » fait prisonnier à l’Hotel Meurice, quartier général allemand
    sous le commandement du gouverneur militaire de la garnison de Paris, Dietrich von Choltitz.

     

     

     

    SOURCES !

    super blog

    http://www.occupation-de-paris.com/2012/04/der-kommandant-von-gross-paris.html

     

     

     

     

     

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