• VIOLETTE MORRIS

     

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    Violette Morris :

    Bi, Collabo et déjà féministe dans les années 30.!

    "féminise" et une véritable tortionnaire.. 

     

    Violette Morris: encore une féministe qui assume bien sa "masculinité..". 

     

     

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    Son efficacité lui vaut le surnom de 

    " hyène de la Gestapo "

    assistait les tortionnaires 

    au 93, rue Lauriston, avec ses amis de la bande à Lafont.

    où le Tout Paris, venait assister aux "séances de tortures"

    ... la coupe de champagne à la main....

     

     

    1913

     

    Le féminisme existait déjà dans les années 30 et les femmes n'etaient pas moins libres, ni moins heureuses, ni moins vénales... 

     

    Bien la preuve que les féministes de 2016 n'ont rien inventé et ne servent toujours à rien.

    C'est pas le féminisme qui a rendu les femmes meilleures, bien au contraire....!

     

     

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    Les féministes sont encore aujourd'hui en 2016, collabos du système et du pouvoir en place !

    Comme elles l'etaient dans les années 30

     

     

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    La délinquance et voyoucratie féminine ne date pas d'hier,

    mais depuis des siècles et la culpabilité féministe aussi.

     

    Suite au procès, elle se plaint que

    « ce pays de petites gens n’est pas digne de ses aînés,

    pas digne de survivre.

    Un jour, sa décadence l’amènera au rang d’esclave, mais moi, si je suis toujours là, je ne ferai pas partie des esclaves »

     

    .

    Lors des Jeux olympiques de Berlin en 1936 auxquels elle assiste en tant qu'invitée d'honneur, elle est approchée par des recruteurs allemands et à partir de 1937, elle se livre à des activités d'espionnage pour le compte de l'Allemagne nazie. 

     

     

    La Morris201 

    En 1940, Helmut Knochen, chef du service de renseignements de la SS à Paris, la recrute.

    Elle est chargée de recruter des espions, de contrer les réseaux anglais du SOE et d'infiltrer les réseaux de résistance

    du Grand ouest.

     

    Elle passe ensuite, par le biais d'Henri Chamberlin dit Lafont, à la Gestapo française, rue Lauriston, où elle se livre à des activités de tortionnaire, notamment sur des femmes résistantes. 

     

    Elle est responsable de secteurs dans les organigrammes de la Gestapo de la rue des Saussaies à Paris de 1942 à 1944

     

     

     

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    Son efficacité lui vaut le surnom de

    hyène de la Gestapo 

     

    Elle est condamnée à mort, soit par l'Intelligence Service,

    soit par le BCRA.

     

     

    Le 26 avril 1944, elle est exécutée par des maquisards du groupe normand Surcouf alors qu'elle se trouve sur une route de campagne au volant de sa traction avant Citroën 15 CV. 

     

     

     

    Son corps criblé de balles, comme ceux des cinq autres occupants de la voiture - dont deux jeunes enfants-,

    est exhumé en septembre 1945.

     

     

     

     

     

     

     

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