• le GENERAL de GAULLE interdit en FRANCE ? par CHURCHILL !!

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    Churchill lui avait interdit de rentrer en France !!

    Churchill lui avait interdit de rentrer en France mais c’est à l’aube du 14 juin 1944, que le général de Gaulle quitte Portsmouth pour la Normandie.

     

     

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    ( Charles-de-Gaulle :

    a toujours refusé de commémorer le 6 juin en Normandie !!

    la RAISON MAJEURE !

     

    petits journaleux celà vous fera du bien de lire ces lignes au lieu d'écrire vos conneries !!)

     

     

    À mesure qu’il se rapproche des côtes normandes, le fondateur de la France libre apparaît morose.

     

    Les Alliés se préparent à mettre en circulation une nouvelle monnaie et entendent imposer leur propre administration sur le pays.

     

    À Paris, le maréchal Pétain vient de recevoir un accueil triomphal.

     

    Sera-t-il lui aussi le bienvenu en France ? et comment !!!!

     

     

     

    Espérant que le général aura oublié sa vive réplique, ou en tout cas aura oublié que c’est à moi qu’il l’a adressée, je remets la question sur le tapis,

    10 mois et demi plus tard, le 13 mai 1964.

     

    « Ces messieurs de la presse qui me reprochent de ne pas aller en Normandie 20 ans après, que faisaient-il alors ?
    Il ne se battaient ni en Normandie, ni ailleurs.

    La Libération s’est passée sans eux.

    Elle s’est passée d’eux. » !!!
    et PAN dans la GUEULE !!

     

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    – Et je commémorerai la libération de Paris, puis celle de Strasbourg, puisque ce sont des prouesses françaises, puisque les Français de l’intérieur et de l’extérieur s’y sont unis, autour de leur drapeau, de leurs hymnes, de leur patrie !

     

    Mais m’associer à la commémoration d’un jour où on demandait aux Français de s’abandonner à d’autres qu’à eux-mêmes, non !

     

    « Les Français sont déjà trop portés à croire qu’ils peuvent dormir tranquille, qu’ils n’ont qu’à s’en remettre à d’autres du soin de défendre leur indépendance ! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naïve, qu’ils paient ensuite par des ruines et par des massacres ! Il faut les encourager à compter sur eux-mêmes !

     

    Allons, allons, Peyrefitte ! Il faut avoir plus de mémoire que ça ! Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons ! Je n’ai aucune raison de célébrer ça avec éclat.

     

    Dites-le à vos journalistes. » !!

     

    Il reprend :

     

    « Ceux qui ont donné leur vie à leur patrie sur notre terre, les Anglais, les Canadiens, les Américains, les Polonais, Sainteny et Triboulet seront là pour les honorer dignement. »

     

     

    http://www.histoirenormande.fr/de-gaulle-a-bayeux-la-legende-en-marche

     

    Churchill lui avait interdit de rentrer en France mais c’est à l’aube du 14 juin 1944, que le général de Gaulle quitte Portsmouth pour la Normandie.

     

    À mesure qu’il se rapproche des côtes normandes, le fondateur de la France libre apparaît morose.

     

    Les Alliés se préparent à mettre en circulation une nouvelle monnaie et entendent imposer leur propre administration sur le pays.

    À Paris, le maréchal Pétain vient de recevoir un accueil triomphal.

    Sera-t-il lui aussi le bienvenu en France ?

     

    « Les enfants m’entourent, les femmes sourient et sanglotent. Les hommes me tendent les mains. Nous allons ainsi tous ensemble, bouleversés et fraternels, sentant la joie, la fierté, l’espérance nationales, remonter du fond des abîmes »,

     

    raconte le Général dans ses Mémoires de guerre.

     

    Un journaliste britannique, impressionné par la foule qui se masse sur son passage, confirme qu’à Bayeux, « tout au long de la rue, les maisons s’ouvraient et les gens se mettaient aux fenêtres pour l’acclamer ».

     

     

    Charles-de-Gaulle :

     

    « C’est exactement ce qui se serait passé si je n’avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous-préfets, mes comités de libération !

    Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n’est pas là !

    « Et puis, ça contribuerait à faire croire que, si nous avons été libérés, nous ne le devons qu’aux Américains. Ça reviendrait à tenir la Résistance pour nulle et non avenue. Notre défaitisme naturel n’a que trop tendance à adopter ces vues. Il ne faut pas y céder !

    • « M’associer à la commémoration d’un jour où on demandait aux Français de s’abandonner à d’autres qu’à eux-mêmes, non ! »

    Charles-de-Gaulle :

     

    « En revanche, ma place sera au mont Faron le 15 août, puisque les troupes françaises ont été prépondérantes dans le débarquement en Provence, que notre première armée y a été associée dès la première minute, que sa remontée fulgurante par la vallée du Rhône a obligé les Allemands à évacuer tout le midi et tout le Massif central sous la pression de la Résistance.

     

     

     https://www.les-crises.fr/pourquoi-de-gaulle-refusa-t-il-toujours-de-commemorer-le-debarquement-du-6-juin/

     

     

     

     

    « La véritable nature de WINSTONCollaboration avec l’ennemi, seconde guerre Mondiale »
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