• LE PARTI AMERICAIN FIRST GERMAN NAZI en AMERIQUE

    POUR MEMOIRE celà me tient vraiment à coeur !!
     
     
     
    ( pendant que certains ULTRA fachos américains ! oui il y en a eu !
    et pas des moindres !!! LE PARTI AMERICAIN FIRST GERMAN !
     
    dont l'aviateur LINDBERGH, le père de JFK ! des miliers de PRO NAZIS en AMERIQUE !
     
    des MILLIERS de JEUNES HOMMES, de JEUNES FEMMES, MILITAIRES, infirmières , radio, pilotes ambulanciers...
     
    tous les corps d'ARMEE AMERICAINS, BRITANNIQUES... QUEBECOIS !
    CANADIENS..
     
     
    tous les ALLIES sont venus en FRANCE et en EUROPE pour la LIBERTE des PEUPLES !!
     
     
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    Omaha Beach est la plage du débarquement de Normandie qui a provoqué le plus lourd bilan des pertes du Jour J (30 % du total des pertes du 6 juin) et
    elle partage avec Juno Beach, le taux de perte le plus fort avec près de 8 % des effectifs débarqués dont beaucoup par noyade
     
     
     
     
    Hitler et Ford (qui reçoit d’Hitler la grande croix de l’Aigle allemand)
     
    Plus de 1 000 Américains sont tués et 2 000 blessés sur Omaha (le bilan précis reste inconnu), 90 % des hommes la première vague étant tués ou blessés.
     
     
     
    L’histoire retient le surnom de « Bloody Omaha » (Omaha, la sanglante) que des films célèbres comme Le jour le plus longou Il faut sauver le soldat Ryan ont mis en scène.
     
    http://6juin.omaha.free.fr/10cim/111_histoire.php
     
     
     
     
     
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    DES ORDURES ont fricoté avec HITLER et les  NAZIS dès les années 30 !
    pour faire des AFFAIRES !!
     
    Comme FORD !!!
    le constructeur automobile qui a livré des chars des BLINDES aux NAZIS !!
     
    OMAHA BEACH la SANGLANTE !!!Rien que là !! des milliers de MORTS ! l'eau de mer était rouge de sang !!!!!
     
    MILITAIRES ! HOMMES , jeunes HOMMES ! FEMMES !!
    et des CIVILS !!
     
     
    CIMETIERE PROVISOIRE !! ils sont venus en FRANCE dans lanuit du 6 juin 1944 ! il y a eu aussi des représailles dans toute la région et dans toute LA FRANCE !! des massacres !!
     
    pendant que des PEIGNE-CULS ! ont fait des AFFAIRES à milliards de dollars !!! en deutsch Marks ! en FRANCS ! tous ces partis de MERDE FACHOS !! en AMERIQUE aussi !!!!
    le Père de JFK !! Lindberg !! et d'autres FELES du CIBOULOT !!!
     
     
    UN  grand nombre !!! ont laissé périr tous ces JEUNES ??
    mais je vous vomis dessus !!! des milliers de tombes en Normandie !!!
     
     
    des PAUVRES JEUNES  !!! On retrouve même encore maintenant des dépouilles !! des objets, des armes de jeunes MORTS !!!
     
    ils sont morts POURQUOI ??? pour VOS COMPTES en BANQUE ??
     
     
     
    JE VOUS VOMIS dessus !! les FACHOS !!!! et vous avez recruté des NAZIS via CIA après la guerre ???
    JE VOUS MAUDIS !!
     
     
     OMAHA BEACH - LE CARNAGE !
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    Pointe du Hoc
     
    A mi-distance entre Omaha Beach et Utah Beach, la Pointe du Hoc domine la mer de sa falaise verticale de 40 m.
     
     
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    La Pointe du Hoc et ses batteries de 155mm sont une épine dans le dos du commandement allié.
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    La seule possibilité pour l’investir est de l’escalader, la mer en contrebas représentant un risque trop important pour une opération aéroportée.
     
     
    Cette mission presque irraisonnée sera confiée au 2e bataillon
     
    de Rangers du Lt-Colonel Rudder, unité d’élite dont l’entrainement en Angleterre est à la hauteur de l’impossible qui lui est demandé.
     
    L’assaut initial est prévu à 6 heures 30 et 225 Rangers, sous le commandement du colonel Rudder, participant lui aussi à l’attaque.
     
     
    A 7 heures, soit une demi-heure après l’assaut initial, les Rangers doivent signaler aux bateaux Alliés au large que la Pointe est capturée en tirant une fusée éclairante.
     
     
    Les Alliés doivent alors envoyer 500 Rangers en renfort pour retenir les contre-attaques allemandes et permettre d’attendre les troupes débarquées à Omaha Beach du 116ème régiment d’infanterie américain.
     
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    Les Rangers doivent escalader la falaise des deux côtés de la Pointe du Hoc, Ouest et Est, capturer les bunkers et blockhaus qui renferment les pièces d’artillerie allemandes et les détruire.
     
     
    L’horaire doit être respecté si les américains veulent recevoir les 500 Rangers en renfort.
     
     
     
     
    Ils seront relevés le 6 juin par les hommes du 116ème régiment d’infanterie américain, accompagnés de chars Sherman, en provenance de Vierville, à l’ouest,
    au secteur d’Omaha Beach.
     
     
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    Si à 7 heures Rudder n’a pas lancé une fusée éclairante indiquant la prise de la Pointe du Hoc, les 500 Rangers de renforts seront directement envoyés à Omaha Beach, secteur Charlie.
     
     
    Les 225 Rangers, éclaboussés par l’eau et l’écume glaciale, atteint par le mal de mer en partie, chargés de leur équipement, naviguent dans les péniches de débarquement vers les falaises, cachées par la fumée des explosions, des incendies et par l’écran de fumée protégeant l’Armada alliée.
     
     
     
    Une équipe se chargera de la Pointe de la Percée, à l’est de la Pointe du Hoc, surmontée d’un site radar allemand.
     
     
     
    Mais le courant est fort ; les barges sont déportées vers l’est et, quelques dizaines de mètres avant d’atteindre la falaise, Rudder réalise que la falaise vers laquelle ils se dirigent n’est pas la bonne…
     
     
    Les barges affectées au transport des soldats devant débarquer à la Pointe du Hoc font demi-tour et naviguent en longeant la côté vers l’ouest.
     
    Ils arrivent enfin en vue de leur objectif : il est 7 heures.
     
    A ce moment, les Alliés sur les bateaux, n’ayant pas vu la fusée éclairante signalant la prise de la falaise, s’imaginent que l’opération est un fiasco total. Les 500 Rangers destinés à renforcer Rudder et ses hommes sont alors dirigés vers la plage d’Omaha, où le débarquement a commencé…
     
    Il faut faire machine arrière ; l’assaut commence avec une demi-heure de retard, détail catastrophique car les 200 Allemands servant la position ont eu le temps de se ressaisir. Les Rangers sont accueillis par une grêle de balles, d’obus de mortiers, de grenades à manche. Leurs cordes trempées ne leur permettent pas d’escalader la falaise, même pour les acrobates qu’ils sont.
     
     
    Certains tenteront l’ascension à mains nues, avant de se briser le dos en contrebas pour la plupart.
     
    Après de longues minutes au cœur de l’Enfer, les premiers éléments réussissent enfin à se hisser au sommet de la position :
     
     
    ils y découvrent un paysage d’apocalypse , le terrain est éventré par les 600 tonnes de bombes de l’aviation, le sol est jonché de cratères monstrueux et de décombres.
     
    Profitant d’un système de souterrains reliant les casemates les unes aux autres, les Allemands apparaissent et disparaissent à volonté, chaque tir tue, les Rangers s’écroulent un à un, mais continuent de s’accrocher à la Pointe du Hoc.
     
     
     
    Les pertes sont très élevées : sur les 225 Rangers débarqués, 90 sont hors de combat pendant l’escalade de la falaise et la prise de la batterie allemande.
     
    Ce n’est que le 8 juin que les troupes alliées auront la totale maitrise du lieu.
     
    Longue de huit kilomètres, la zone de débarquement s’étendait sur la côte occidentale du Calvados, depuis Sainte-Honorine-des-Pertes à l’est jusqu’à Vierville-sur-Mer à l’ouest, sur la rive droite de l’estuaire de la Douve.
     
     
    L’objectif à Omaha était de s’emparer et, ensuite, de tenir une tête de pont de huit kilomètres de profondeur entre Port-en-Bessin et la Vire et, dès que possible, de faire la jonction à l’est avec les Britanniques et à l’ouest avec le VII Corps américain débarqué à Utah Beach afin d’établir une tête de pont continue sur la côte normande.
     
    La section du mur de l’Atlantique face aux assaillants était défendue par environ 2 000 hommes provenant de deux divisions allemandes.
     
    De multiples obstacles avaient été installés sur la plage pour interdire tout débarquement. Ces obstacles étaient sous le feu de positions fortifiées construites sur le talus et la crête et équipées de mitrailleuses ainsi que de canons.
     
     
     
    On y trouvait aussi des observateurs d’artillerie chargés d’ajuster les tirs de batteries déployées plus dans la profondeur.
     
    – Omaha beach
     
    Omaha Beach est l’appellation utilisée par les Alliés pour désigner l’une des cinq plages du débarquement de Normandie. Affectée aux troupes américaines, elle est celle où les Alliés perdirent le plus de troupes ce qui lui vaut le surnom de « bloody Omaha »
     
    (Omaha, la sanglante) ou encore « the Beach of blood ».
     
    Le plan de débarquement ne se déroula pas comme prévu et dès le début, la situation prit une tournure catastrophique pour les Alliés.
     
    Le bombardement aérien et naval avait manqué ses cibles et n’avait pas neutralisé les défenses ennemies.
     
    Les troupes américaines allaient se heurter à des positions allemandes quasi intactes.
     
    De plus la mer était agitée et le vent fort.
     
    La quasi-totalité des chars amphibies coula et seuls quelques-uns atteignirent la plage.
     
    Omaha Beach est la plage du débarquement de Normandie qui a provoqué le plus lourd bilan des pertes du Jour J (30 % du total des pertes du 6 juin) et elle partage avec Juno Beach, le taux de perte le plus fort avec près de 8 % des effectifs débarqués dont beaucoup par noyade. Plus de 1 000 Américains sont tués et 2 000 blessés sur Omaha (le bilan précis reste inconnu), 90 % des hommes la première vague étant tués ou blessés. L’histoire retient le surnom de « Bloody Omaha » (Omaha, la sanglante) que des films célèbres comme Le jour le plus long ou Il faut sauver le soldat Ryan ont mis en scène.
     
    « Des bombardiers s’approchèrent à nouveau de la côte. Je me tenais dans mon bunker enterré. Devant moi il y avait la mitrailleuse lourde sur son affût tournant. Trois ouvertures de tir étaient orientées vers la mer. Je vérifiai encore une fois les bandes de cartouches. Je cherchai à me concentrer sur mon arme pour éviter de penser. Maintenant les bombardiers étaient au-dessus de nous et il était trop tard pour risquer le saut dans le trou individuel, qui devait nous offrir un abri en cas d’attaque aérienne. C’était trop tard pour cela. Je me fis donc tout petit sous le socle de la mitrailleuse. Les bombes s’enfonçaient dans le sol sablonneux et rocailleux en hurlant et en sifflant. Nous étions plongés dans la boue et la fumée. Le sol tremblait, Les yeux et le nez étaient pleins de poussière. Le sable crissait sous les dents. Tout espoir d’aide était perdu : nos avions tardaient à venir. Il n’y avait pas de canons de DCA dans cette partie de la côte.
     
    Les bombardiers pouvaient lâcher leur charge mortelle impunément. Entre temps, de lourds obus d’artillerie de Marine explosèrent. Depuis une tranchée, j’eus l’occasion d’observer, comment les bombardiers lourds lâchaient leurs charges meurtrières sur un point d’appui voisin. Bombes et obus de l’artillerie navale s’enfonçaient dans le sol, projetant en l’air des mottes de terre, du barbelé, et des blocs de béton. Mais ce n’était pas tout : La flotte de débarquement qui s’approchait dans la grisaille matinale préparait des choses encore plus effrayantes pour les points d’appui. Pour nous commençait un combat sans issue. Peut-être est-ce justement ce désespoir qui a contribué à ce que nous nous défendîmes si amèrement. Nous voulions survivre.
     
    « Une flotte s’étendait devant notre côte à perte de vue. De gros bateaux de guerre semblaient se tenir devant nous, comme pour une parade. Le spectacle, pour les rares survivants du bombardement naval, a été une aventure vécue unique mais effrayante.
     
    Souvenirs de Franz Gockel , soldat dans le WN62, Omaha Beach le 6 juin 1944
     
    – Cimetière de Colleville
     
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    SOURCES du super BLOG de 
     
    http://campuscassinoslo.org/?p=34
     
     

    Le cimetière américain de Colleville-sur-Mer (Normandy American Cemetery and Memorial) est un cimetièremilitaire américain, situé juste au-dessus de la plage dite d’Omaha Beach, dans la commune de Colleville-sur-Mer. Inauguré officiellement en 1956 avec son mémorial, ce cimetière honore les soldats américains morts pendant la bataille de Normandie lors de la Seconde Guerre mondiale. Cette nécropole de 70 hectares est installée sur les hauteurs qui surplombent la plage d’Omaha Beach, l’une des plages du débarquement de Normandie. Le littoral à cet endroit est protégé.

    Le cimetière a remplacé un premier cimetière provisoire dit de Saint-Laurent établi à proximité dès le 8 juin1944

    Dans le cimetière sont enterrés les corps de 9 387 soldats, dont 307 inconnus et quatre femmes, principalement morts le jour du débarquement ou dans les combats des semaines suivantes en Normandie

    –         Cimetière de La Cambe

    Le cimetière militaire allemand de La Cambe fut inauguré le 21 Septembre 1961.  21.300 soldats y reposent. La plupart des victimes de guerre qui reposent ici sont tombées entre le 6 Juin et le 20 Août 1944. Beaucoup de ces soldats étaient encore très jeunes – ils n’avaient que 18,19 ou 20 ans. Ils sont morts lors du débarquement des Alliés et des combats qui lui ont succédé.

    Le Service Americain des Sépultures Militaires inhuma les soldats allemands et américains dans deux grands terrains adjacents. En 1945, conformément aux voeux des familles, les Américains transfèrent dans leur patrie environ deux tiers de leurs soldats morts au combat. Pour les autres, on créa, à 15 kilomètres environ de la Cambe, le cimetière américain de St Laurent-sur-Mer (Colleville). En 1954, il a été décidé dans l’accord franco-allemand relatif aux tombes de guerre, d’aménager le site de La Cambe pour en faire l’un des six cimetières de regroupement allemands en Normandie.

    Texte de Céline Thiery

     
     
     
     
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